Expériences de stage de Catherine
Après trois stages à mon actif, je peux dire que j’ai beaucoup évolué en tant qu’enseignante. En stage, nous apprenons énormément aux côtés de notre enseignant associé. De plus, j’ai compris que nous devions toujours garder notre personnalité en étant fidèles à nous-mêmes. Ce n’est pas toujours facile, car il peut y avoir parfois divergence d’opinions. La clef de tout ça, c’est d’être professionnel et de comprendre l’autre même si nous ne sommes pas en accord. Lorsqu’on utilise notre intelligence émotionnelle, tout va mieux!
Mon premier stage était à l’école l’Aquarelle de Mont-Saint-Hilaire, dans une classe régulière de deuxième année. J’ai eu la chance d’être initié au merveilleux monde des tableaux blancs interactifs (TBI). Je l’utilisais régulièrement pour les leçons d’enseignement. Les enfants répondaient toujours très positivement, j’avais une grande participation de leur part. Je suis d’accord que les commissions scolaires investissent dans cette technologie, car leur utilisation des technologies de l'information et de la communication (TIC) n’est plus maintenant une option, mais une obligation pour tous les enseignants. De plus, dans ma classe, un de mes élèves était mal entendant. J’utilisais donc un système MF.
Lors de mon deuxième stage, j’ai été intégré dans une classe de difficulté langagière (DL) à l’école Guillaume-Vignal de Brossard. Ma classe comptait douze élèves, dix garçons et deux filles, de 10 à 12 ans ayant un trouble du langage (dysphasie). De plus, quelques garçons de la classe ont un trouble du spectre de l’autisme (TSA). Je crois que j’ai été très chanceuse d’avoir un stage aussi incroyable. J’ai été jumelée à un enseignant formidable qui a à coeur la réussite et le bienêtre de ses élèves. Je savais que je pouvais me fier à son jugement. Ma clientèle m’intéressait beaucoup. J’espère même avoir une classe langagière dans ma carrière d’enseignante. Lors de mon stage, j’ai su démontrer de l’initiative en utilisant les TIC et de la passion. Vous pouvez aller voir le premier billet de mon blogue qui explique le tout!
Je viens de terminer mon troisième stage à l’automne dernier. J’ai été assignée à l’école St-Donat de Montréal en dénombrement flottant (DF), c’est-à-dire en orthopédagogie. J’y travaille maintenant comme orthopédagogue tous les vendredis! Mon enseignante associée utilisait plusieurs logiciels avec ces élèves dyslexiques tels qu’Antidote, Word, WordQ, Mme mo, etc. J’ai donc travaillé avec ces logiciels que je connaissais déjà assez bien. Je devais aussi faire du grand groupe, j’ai alors utilisé un canon projecteur. J’ai fait plusieurs PowerPoint, j’ai montré des vidéos, etc. Les élèves étaient toujours très réceptifs et motivés lorsque mon enseignement était visuel et interactif.
Rapidement, ce que je retire de mes expériences : les TIC, c’est motivant! Les élèves en difficulté à l’école n’ont pas toujours beaucoup de motivation. Lorsque les TIC sont bien intégrées, l’intérêt des élèves augmente, ils sont plus captivés par la matière et donc plus persévérants. Pour ce qui est des logiciels, plusieurs d’entre eux aident considérablement les élèves, au point de parfois de pallier une grande partie du problème. Finalement, pour ce qui est de l’enseignement, les TIC nous permettent de varier notre approche en adaptant notre matière.
Mon premier stage était à l’école l’Aquarelle de Mont-Saint-Hilaire, dans une classe régulière de deuxième année. J’ai eu la chance d’être initié au merveilleux monde des tableaux blancs interactifs (TBI). Je l’utilisais régulièrement pour les leçons d’enseignement. Les enfants répondaient toujours très positivement, j’avais une grande participation de leur part. Je suis d’accord que les commissions scolaires investissent dans cette technologie, car leur utilisation des technologies de l'information et de la communication (TIC) n’est plus maintenant une option, mais une obligation pour tous les enseignants. De plus, dans ma classe, un de mes élèves était mal entendant. J’utilisais donc un système MF.
Lors de mon deuxième stage, j’ai été intégré dans une classe de difficulté langagière (DL) à l’école Guillaume-Vignal de Brossard. Ma classe comptait douze élèves, dix garçons et deux filles, de 10 à 12 ans ayant un trouble du langage (dysphasie). De plus, quelques garçons de la classe ont un trouble du spectre de l’autisme (TSA). Je crois que j’ai été très chanceuse d’avoir un stage aussi incroyable. J’ai été jumelée à un enseignant formidable qui a à coeur la réussite et le bienêtre de ses élèves. Je savais que je pouvais me fier à son jugement. Ma clientèle m’intéressait beaucoup. J’espère même avoir une classe langagière dans ma carrière d’enseignante. Lors de mon stage, j’ai su démontrer de l’initiative en utilisant les TIC et de la passion. Vous pouvez aller voir le premier billet de mon blogue qui explique le tout!
Je viens de terminer mon troisième stage à l’automne dernier. J’ai été assignée à l’école St-Donat de Montréal en dénombrement flottant (DF), c’est-à-dire en orthopédagogie. J’y travaille maintenant comme orthopédagogue tous les vendredis! Mon enseignante associée utilisait plusieurs logiciels avec ces élèves dyslexiques tels qu’Antidote, Word, WordQ, Mme mo, etc. J’ai donc travaillé avec ces logiciels que je connaissais déjà assez bien. Je devais aussi faire du grand groupe, j’ai alors utilisé un canon projecteur. J’ai fait plusieurs PowerPoint, j’ai montré des vidéos, etc. Les élèves étaient toujours très réceptifs et motivés lorsque mon enseignement était visuel et interactif.
Rapidement, ce que je retire de mes expériences : les TIC, c’est motivant! Les élèves en difficulté à l’école n’ont pas toujours beaucoup de motivation. Lorsque les TIC sont bien intégrées, l’intérêt des élèves augmente, ils sont plus captivés par la matière et donc plus persévérants. Pour ce qui est des logiciels, plusieurs d’entre eux aident considérablement les élèves, au point de parfois de pallier une grande partie du problème. Finalement, pour ce qui est de l’enseignement, les TIC nous permettent de varier notre approche en adaptant notre matière.
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